Volleyball: Caroline Meuth, celle qui danse sur le terrain
Son master en poche, l’Américaine vit sa première expérience pro avec Guin, qu’elle a rejoint en début d’année. La Texane raconte son amour du volley et son bonheur de découvrir la Suisse.
Patricia Morand
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Quelques pas de danse entre deux points. Les spectateurs du Leimacker ont découvert la particularité de Caroline Meuth au début de l’année, lorsque l’Américaine de 23 ans a rejoint l’effectif des Power Cats pour remplacer l’ailière canadienne Thana Fayad partie à Bucarest.
«Danser me permet de garder le rythme», explique la détentrice d’un Master of Science in Entrepreneurial Leadership. «Cela me permet aussi de me détendre. Pour bien jouer, il faut être relax. Et puis, j’aime ça. Je suis un peu artiste. Les gens assistent aux matches pour voir du spectacle. Ils n’apprécient pas les défaites, mais ils n’aiment pas non plus les victoires si les matches sont ennuyeux.»
La danse, c’est un peu de famille. «Ma grande sœur a été cheerleader et fait également de la danse et des chorégraphies. Elle voulait m’apprendre la technique. Je danse plutôt à l’instinct, dans ma cuisine, en chantant dans ma tête. La danse, c’est d’abord la passion. J’apprendrai peut-être un jour…»
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